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28/11/2011

Qui veut perdre des milliards ?

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Oubliées, les revendication salariales,
Exit, les préoccupations environnementales,
A la porte, la lutte contre les inégalités,
Au revoir l'action humanitaire en faveur des plus démunis,
Adieu Services Publics et progrès social,
Terminée, l'aide au Tiers Monde,
Pauvreté, précarité, chômage, des mots désormais vides de sens...

NON,
seul refrain possible:
Récupérer sur les classes moyennes les milliards d'euros  dilapidés par le sarkozysme (75 milliards perdus depuis 5 ans) Et ça va continuer avec la réforme de l'I.S.F prévue pour 2012 (1,9 Milliard d'euros de manque à gagner).

"A.A.A... putain de toi,
A.A.A... pauvre de moi"

 

( Vitrine d'une boutique de Rennes.)

Commentaires

Selon Alain Rey* , le mot travail (apparu vers 1130) est un déverbal de travailler, issu (vers 1080) du latin populaire tripaliare, signifiant « tourmenter, torturer avec le trepalium ». Le bas latin trepalium (attesté en 582) est une déformation de tripalium, un instrument de torture formé de trois pieux, deux verticaux et un placé en transversale, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves pour les punir. Le mot est utilisé au sens d'activité productive depuis le XVe siècle.



* travailler et travail, dans : Alain Rey (dir.), Le Robert, dictionnaire historique de la langue française, dictionnaires Le Robert.

Si le peuple tient absolument à se tourmenter.....

A bientôt l'ami!

Écrit par : Barbara Bee Mia | 28/11/2011

Merci Barbara,
Dans l'Antiquité, ceux qui travaillaient - manuellement - étaient les esclaves. Ils permettaient ainsi aux hommes libres de vaquer à des occupations hautement valorisantes.
Il en va de même dans la société médiévale.
Avec l'accession de la bourgeoisie au statut de classe dominante - consacré par la Révolution Française mais aussi par la victoire des insurgés américains, aidés par les Français (!) - le travail - salarié - est devenu essentiel au développement des grandes fortunes et de ce fait fortement valorisé par les "bien-pensants".
Notre conception du rôle du travail dans l'insertion sociale aujourd'hui en dépend directement...
En tant que salariés, nous sommes les complices, contraints et forcés, du grand capitalisme international qui asservit les pauvres et détruit la planète.
Voilà mon idée.
Bien à toi.

Écrit par : arlequin | 29/11/2011

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