Arlequin

Bonsoir Arlequin
je parie que tu nous mets au défi de te répondre en vers ?
Mais moi, j'sais pas faire !
Je ne connais que les mots de tous les jours,
Qui ne riment qu'avec toujours !
(Pouah ! je m'arrête là !)

Moi, je te parle , Arlequin, mais alors que nous utilisons les mêmes mots, nous n'exprimons pas les mêmes choses !
Je crois qu'il ne suffit pas de se parler mais qu'il faut , aussi, se comprendre ! Là est la difficulté , engendrée par les parcours différents, souvent semés d'embuches, que sont les nôtres !

La droite sérieuse ? hum ! Tron m'a chatouiié les pieds !
La gauche rieuse ? hum ! Hollande doit (rapidement)réinventer le rire !
Tout est relatif, mon cher Arlequin !

Courageux , les travailleurs ? ils se plaignent de crouler sous le travail !
Paresseux , les chomeurs ? Ils se plaignent de n'en avoir pas assez !
Tout est relatif , mon cher Arlequin !

Impécunieux, les socialistes ? ils nous promettent le beurre et l'argent du beurre !
Rigoureux, les capitalistes ? Bahamas , champagne et vahinés sont leurs dures réalités !
Tout est rel.........
Alors relativisons ! en bons prolos vaincus mais contents !

Bon ouik à toi aussi , ARL
OP

Écrit par : Opaline | 06/11/2011

En peu de mots, je crois qu'on peu
refaire un monde un peu meilleur
avec un place même pour les gueux !

Écrit par : MARIE | 06/11/2011

J'aime te lire Opaline

Écrit par : arlequin | 14/11/2011

mereci de ton passage Marie.
reviens quand tu veux.

Écrit par : arlequin | 14/11/2011

Si seulement les prolos se mettaient à parler fort !...
Ils se rendraient compte qu'ils sont qu'ils sont les vrais décideurs !

Écrit par : Claude | 15/11/2011

Bonjour à tous
Claude, je suis d'accord avec toi ( mais voui !), les prolos pourraient être très forts : ils sont nombreux et sans eux , rien ne pourraient se faire !
Seulement voilà : ils ne sont pas organisés et ils sont mal représentés.
Je ne dis pas qu'ils ne sont pas encadrés , ils le sont, peut-être même trop , mais quand on les sollicite , ce n'est pas forcement pour la défense de leurs intérêts.

Nous vivons une époque formidable , n'est-ce pas , Arlequin ?
Non, je voulais surtout dire une époque paradoxale : un repliement sur soi, une frilosité , une stagnation même au niveau des institutions: justice, éducation, social...
une fuite en avant, un activisme dans les échanges (hélas pas forcément à notre avantage), une politique extérieure dispendieuse , une gestion catastrophique au niveau financier ....
Que ce passe-t-il ? il semble que nos responsables ne voient plus que les affaires extérieures à gérer !
Nous voyons, nous, les nuages s'amonceler au dessus de nos têtes et eux, ne les verraient pas ?
Je ne comprends plus rien ! le batiment prend l'eau, c'est voulu ou je ne m'y connais pas !
" Mousaillon Claude !
- Capitaine Arlequin ?
- Comment est le fourneau ? --- - Noyé.
- Le feu? ---- Éteint.
- La machine? ---- Morte. "
Le capitaine reprit : " Combien avons-nous de minutes? ----vingt.
- Cela suffit.... Brûlez la cervelle à tout homme qui voudrait passer avant une femme." dit le capitaine "
Diable , Arlequin , je reconnais bien là ta grandeur chevaleresque mais , s'il te plait, épargne- les car ils ne savent pas ce qu'ils font !
Ouais , Victor Hugo m'a bien aidé ( le naufrage)!
Bon WE, Arlequin et à tous
OP

Écrit par : Opaline | 17/11/2011

Oh là Opaline,
là tu te surpasses.. si !
Bravo tu as un sens formidable de la dramaturgie!
Merveilleux.
à très bientôt.

Écrit par : arlequin | 19/11/2011